Gérard TRONCHE

714 La Coste, 19500 SAILLAC , Corrèze

Contact commercial :

TRONCHE Gérard

Présentation de l’entreprise

Dire que ce patrimoine a failli disparaître !
Cet antique nectar du Meyssacois et du Bellocois, est issu de vendanges séchées sur lit de paille comme dans la période gallo-romaine ou on appelait ce vin le « passum ». Le pressurage est effectué aux environs de Noël. Le séchage concentre les sucres et les arômes pour produire un vin doux naturel pouvant dépasser les 15 degrés.
La renaissance du vin paillé de la Corrèze est due au regroupement de plusieurs producteurs passionnés, qui en 1997 créèrent « le syndicat viticole du vin paillé ». Tout produit portant l’appellation « vin paillé » a été élaboré suivant un cahier des charges précis. Avant la commercialisation ces breuvages divins sont validés par une commission d’agrément, externe à l’environnement du produit. Chaque producteur vinifie et élève son nectar. L’identification du producteur est mentionnée sur l’étiquette.

Lors de l’élaboration du vin paillé, pendant la phase de séchage le raisin perd environ les 2/3 de son volume d’eau ; sa concentration en sucre augmente. Il faut 6 à 7 Kg de raisin pour faire 1 litre de Vin Paillé, (contre 1,3Kg de raisin pour un vin de table). Pendant la période d’élevage en fût les pertes avoisinent 5 à 10%. La fabrication du vin paillé demande beaucoup de main d’oeuvre et les pertes en volume sont importantes pour arriver à la phase finale. De ce fait ce vin est un produit noble qui valorise admirablement notre terroir corrézien.

Une légende parmi d’autres qui justifie l’antériorité du vin paillé en basse Corrèze :
Vers l’an 622 le bon St Eloi se rend en pèlerinage à Rocamadour. Le voyage fût éprouvant, et en passant à Beaulieu, on lui offrit une jarre de « Vin Paillé » pour lui redonner forces. Il trouva ce nectar à son goût et en ramena à la cour, lors de son retour.
Certains troubles vestimentaires dans la tenue du roi ont été constatés le lendemain du retour du ministre : le bon roi Dagobert avait mis sa culotte à l’envers.

Un élevage de plus de 36 mois en fût lui permet de se hisser parmi les grands vins.

Le vin paillé se déguste en apéritif, accompagne avec délicatesse le foie gras, se marie avec noblesse en fin de repas sur des fromages comme le Rocamadour, le Cantal ou le Bleu, se savoure avec des desserts sucrés et accompagne également avec élégance le chocolat.
Bon appétit…..

Gérard TRONCHE vous invite à venir déguster ce nectar appelé aussi, « miel des muses » pour se référer au passé.
Situés aux portes du midi, à 25 Km de Brive la Gaillarde, 3 Km de Collonges la rouge, nous vous accueillerons dans un cadre agréable sur les hauteurs du pays de Meyssac: vue panoramique imprenable garantie.

Présentation des produits

Présentation du Vin Paillé

Dire que ce patrimoine a failli disparaître !
Cet antique nectar du Meyssacois et du Bellocois, est issu de vendanges séchées sur lit de paille comme dans la période gallo-romaine ou on appelait ce vin le « passum ». Le pressurage est effectué aux environs de Noël. Le séchage concentre les sucres et les arômes pour produire un vin doux naturel pouvant dépasser les 15 degrés.
La renaissance du vin paillé de la Corrèze est due au regroupement de plusieurs producteurs passionnés, qui en 1997 créèrent « le syndicat viticole du vin paillé ». Tout produit portant l’appellation « vin paillé » a été élaboré suivant un cahier des charges précis. Avant la commercialisation ces breuvages divins sont validés par une commission d’agrément, externe à l’environnement du produit. Chaque producteur vinifie et élève son nectar. L’identification du producteur est mentionnée sur l’étiquette.

Lors de l’élaboration du vin paillé, pendant la phase de séchage le raisin perd environ les 2/3 de son volume d’eau ; sa concentration en sucre augmente. Il faut 6 à 7 Kg de raisin pour faire 1 litre de Vin Paillé, (contre 1,3Kg de raisin pour un vin de table). Pendant la période d’élevage en fût les pertes avoisinent 5 à 10%. La fabrication du vin paillé demande beaucoup de main d’oeuvre et les pertes en volume sont importantes pour arriver à la phase finale. De ce fait ce vin est un produit noble qui valorise admirablement notre terroir corrézien.

Une légende parmi d’autres qui justifie l’antériorité du vin paillé en basse Corrèze :
Vers l’an 622 le bon St Eloi se rend en pèlerinage à Rocamadour. Le voyage fût éprouvant, et en passant à Beaulieu, on lui offrit une jarre de « Vin Paillé » pour lui redonner forces. Il trouva ce nectar à son goût et en ramena à la cour, lors de son retour.
Certains troubles vestimentaires dans la tenue du roi ont été constatés le lendemain du retour du ministre : le bon roi Dagobert avait mis sa culotte à l’envers.

Un élevage de plus de 36 mois en fût lui permet de se hisser parmi les grands vins.

Le vin paillé se déguste en apéritif, accompagne avec délicatesse le foie gras, se marie avec noblesse en fin de repas sur des fromages comme le Rocamadour, le Cantal ou le Bleu, se savoure avec des desserts sucrés et accompagne également avec élégance le chocolat.
Bon appétit…..

Gérard TRONCHE vous invite à venir déguster ce nectar appelé aussi, « miel des muses » pour se référer au passé.
Situés aux portes du midi, à 25 Km de Brive la Gaillarde, 3 Km de Collonges la rouge, nous vous accueillerons dans un cadre agréable sur les hauteurs du pays de Meyssac: vue panoramique imprenable garantie.

Catégorie(s) de produits

Vins du Sud Ouest

Zone(s) de commercialisation


À date :

  • Région Nouvelle-Aquitaine

Prospective :

  • France