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Comme chaque année, les Trophées de l’Oenotourisme valorisent les établissements qui ont fait le choix de s’ouvrir au public et de développer une offre spécifique : hôtellerie, animation, pédagogie, etc.
Les lauréats concourent dans 8 catégories :
Architecture et paysages
Art, culture et savoir-faire
Le vignoble en famille
Œnotourisme d’affaires & événements privés
Pédagogie et valorisation de l’environnement
Séjour et restauration à la propriété
Coup de cœur Promotion d’un terroir
Coup de cœur Initiatives originales & innovation
Les inscriptions en ligne sont ouvertes du 8 juillet au 31 octobre. Les participations aux Trophées sont ouvertes à tous. Les frais de dossier s’élèvent à 90€ HT.
Les dossiers seront examinés, selon leur catégorie, afin d’en élire un TOP 100. Ce dernier sera révélé en février lors d’un webinaire mobilisant les principaux acteurs de l’œnotourisme et ouvert au public. Un jury d’experts, composé de membres du Pôle Œnotourisme d’Atout France et de membres de la rédaction de Terre de vins, distinguera respectivement deux vainqueurs (“Offre Remarquable”, “Offre Exceptionnelle”) par catégorie. Les 16 lauréats des Trophées de l’Œnotourisme seront célébrés lors d’une soirée de gala organisée à Paris en avril
Cette aide vise à accompagner la création ou la modernisation de parcours de visite pour une ouverture au public d’une entreprise ou d’une exploitation (agritourisme, œnotourisme, tourisme de savoir-faire, etc.).
Objectifs
Objectifs principaux :
Diversifier l’activité principale de l’entreprise ou de l’exploitation en vue d’une ouverture touristique
Aménager un lieu d’accueil et de visite pour présenter le process agricole ou de fabrication
Pour les secteurs de l’agritourisme et de l’oenotourisme :
Création ou modernisation du parcours de visite
Pour le Tourisme de savoir-faire et/ou découverte économique :
Modernisation du parcours de visite uniquement.
Bénéficiaires
Entreprises inscrites au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS)
Entreprises relevant du Régime Agricole (RA).
Associations
Les SCI, grandes entreprises, collectivités, Maisons de pays et magasins de producteurs sont inéligibles.
Montant
Intervention :
Seuil minimum de dépenses à présenter : 20 000 € HT
Plafond de dépenses maximum retenu : 500 000 € HT
Le taux d’intervention : 20% maximum
Le taux d’intervention pourra être modulé en fonction du projet et des engagements pris en faveur du Tourisme durable.
Dépenses éligibles :
Travaux concourant à l’accueil du public : gros oeuvre (uniquement huisseries, planchers, isolation par l’extérieur, isolation de toiture) et second oeuvre
Equipements : aménagements ludiques et/ou pédagogiques favorisant l’accueil et la découverte, les aménagements d’accessibilité
Autres dépenses : aménagement de parking (revêtement perméable), salle de séminaire, boutique, etc.
Pour les projets d’ouverture d’entreprises hors régime agricole : dépenses liées aux travaux et aménagement d’une boutique/billetterie.
Enfin ça, c’est ce que je pensais avant de faire la connaissance de l’équipe com des AOC Médoc et Haut-Médoc.
En mai, les AOC Médoc et Haut-Médoc m’ont invitée dans le vignoble médocain et j’ai été bluffée.
Bluffée par l’équipe de l’AOC Médoc & Haut-Médoc, des passionnés qui bossent vraiment main dans la main avec les vignerons locaux (et pas depuis leur tour d’ivoire derrière 28282 écrans).
Fini les photos léchées à outrance avec des vignerons crispés. Ici, on est dans l’authenticité. On met en avant le terroir mais surtout les vignerons. Comment ? En déployant des actions concrètes pour mettre en valeur le terroir sans être boring, créer du lien avec les consommateurs et soutenir les vignerons dans leur communication.
Au cours de notre conversation, on a parlé :
des challenges auxquels sont confrontés les vins de Bordeaux
du besoin criant de recréer du lien entre les producteurs et les consommateurs de vin en 2024
de comment construire un département com en partant de zéro
Mais aussi et surtout :
de marketing
de communication stratégique et opérationnelle
Mais je ne vous en dis pas plus et laisse place à ma conversation avec Léa, Stéphane, Clara, Emma et Simon !
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La firme lance sur le marché français le premier outil d’aide à la décision basé sur un modèle mécaniste, permettant aux viticulteurs de visualiser le risque mildiou, oïdium, botrytis, et black-rot, sans biais liés à l’historique de leur vignoble.
Si la lutte contre la flavescence dorée est sa mission principale, le GDON du Libournais surveille de multiples parasites et maladies. Son animateur, Antoine Verpy, nous livre son regard sur l’état de santé du vignoble libournais
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Caviar, huîtres, foie gras, volailles fermières, grands crus… avec plus de 300 signes officiels de qualité et d’origine, la Nouvelle-Aquitaine s’impose comme un acteur incontournable de la gastronomie en France comme à l’export.
Le changement climatique a pour conséquences une augmentation de la fréquence, de l’intensité et de la durée des canicules et des sécheresses, mais aussi probablement des précipitations. La saisonnalité est perturbée.
Les risques associés, qu’ils soient naturels (sécheresses, inondations, incendies, etc.), sanitaires (invasions biologiques, pandémie, etc.) ou socioéconomiques (instabilité des marchés, etc.) augmentent. Ils menacent les systèmes alimentaires, l’accès à l’eau, les sols, les moyens de subsistance des populations, les infrastructures, ou bien encore la santé humaine et celle des écosystèmes.
INRAE développe des recherches interdisciplinaires sur les causes et conséquences du changement climatique en mobilisant des approches d’observation à long terme, d’expérimentation et de modélisation. INRAE contribue, avec ses partenaires et l’ensemble des acteurs, à la conception et à la mise à l’épreuve de démarches durables en appui aux transitions, qui soient compatibles avec les enjeux d’atténuation et d’adaptation au changement climatique et qui intègrent les dimensions de prévention et de gestion des risques.
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