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Programmes européens 2021-2027

Ce sont près de 1,3 milliard d’euros de fonds européens que la Région Nouvelle–Aquitaine a obtenus pour assurer la gestion des programmes européens sur la période 2021-2027 et qui permettront de financer des projets dans les domaines de l’innovation et la compétitivité des entreprises, la formation, du numérique, de l’environnement l’agriculture et forêt, la pêche et l’aquaculture, le développement des territoires, la coopération européenne.

Les enjeux de l’Europe est de rendre les régions :

  • plus compétitives et plus innovantes ;
  • plus vertes ;
  • mieux préparées aux emplois de demain ;
  • plus proches de ses habitants.

La Région Nouvelle-Aquitaine est responsable de la gestion de 3 programmes :

  • Le programme régional Nouvelle-Aquitaine a pour objectif  la cohésion économique et sociale de l’Union européenne pour corriger les déséquilibres entre ses régions ;
  • Le plan stratégique régional financé par le Fonds Européen Agricole pour le Développement Rural (FEADER) qui soutient le développement des entreprises régionales des domaines  agricoles et forestiers  en favorisant une approche agro-environnementale ;
  • Le dispositif régional du programme national FEAMPA (Fonds Européen pour les Affaires Maritimes, la Pêche et l’Aquaculture) soutient les acteurs de la pêche et de l’aquaculture.

Pour en savoir plus

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Pourquoi la France a perdu 2 millions de bovins en 5 ans ?

Si l’élevage bovin est l’une des plus significatifs de notre patrimoine agricole, les exploitations du pays ont perdu 463 000 bovins depuis 2021 et 2 millions depuis 2017.

Comment expliquer cette importante baisse des troupeaux ?

Races laitières et races à viandes sont toutes deux concernées : il reste 17 millions de bovins en France.

Pourquoi ?

Si l’on parle de la tendance vegan, elle n’est pas la cause de baisse du nombre de têtes. Ce sont plutôt les coûts et les difficultés de production qui sont à l’origine de cette perte. Les prix d’achats souvent insuffisants qui ne permettent pas aux éleveurs de faire leur marge sont aussi cités. Ce contexte a entraîné la fermeture de 100 000 fermes en 10 ans, à laquelle s’ajoutent la reconversion vers les grandes cultures, plus rentables que l’élevage.

Les difficultés climatiques

La sécheresse a eu des répercussions très importantes sur les cultures : faute de pouvoir nourrir les vaches, les producteurs ont fait le choix de diminuer les troupeaux.

L’exportation en hausse

La France était autrefois un producteur incontournable de viande : aujourd’hui 25% est importé depuis chez nos voisins belges, allemands, luxembourgeois ou encore espagnols qui seraient moins concernés par les difficultés de rémunération que les producteurs français.

La seule solution : les prix doivent remonter pour pérenniser nos élevages.

Pour lire l’article complet sur le site de RTL2 : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/agriculture-pourquoi-la-france-a-perdu-2-millions-de-bovins-en-cinq-ans-7900185516

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La filière moutarde bio prend de l’ampleur en Limousin

Alors que la pénurie touche le secteur, une filière moutarde bio se développe entre la Creuse et la Haute-Vienne. Les surfaces de plantation vont même doubler cette année. 

Les étals des supermarchés en sont tristement privés. Plus un pot à l’horizon. La moutarde a disparu. Partout ? Non ! En Limousin, la filière lancée il y a 9 ans arrive à maturité. De 250 hectares l’an dernier, la surface de moutarde semée dans la région passe à 500 hectares cette année. La récolte va débuter dans quelques semaines et s’annonce plutôt bonne. De quoi réapprovisionner bientôt les étals. 

La filière est née de la rencontre des entreprises AB développement et Delouis. La première est basée à Maisonnisses en Creuse, la seconde à Champsac en Haute-Vienne. Elle produisait déjà de la moutarde il y a une dizaine d’années, mais les graines étaient intégralement importées de l’étranger, notamment du Canada.  

« L’idée, en montant cette filière, c’est de ramener la valeur ajoutée sur le territoire. Nos emplettes sont nos emplois, c’est du BSP (bon sens paysan). La société affiche des produits bio à son catalogue depuis 35 ans. Plutôt que de faire travailler des agriculteurs à l’autre bout du monde, nous avons voulu faire vivre ceux d’ici. La relocalisation, c’est un travail de longue haleine, c’est compliqué et heureusement, sinon tous nos concurrents l’auraient déjà fait » .

Gaël Brabant, patron de Delouis depuis 2004

Pour visiter le site internet : https://www.delouis.com/ 

Crédit : © Christian Watier / MAXPPP 

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La filière du Pruneau d’Agen – Rapport 2022

Retrouvez toutes les informations d’actualités de l’Interprofession et du Syndicat du Pruneau d’Agen ainsi que les chiffres clés de la filière dans le rapport annuel de 2022.

  • 936 exploitations prunicoles réparties dans 8 organisations de producteurs.
  • 72 transformateurs de pruneaux dont les 10 concentrent > 90 % des volumes.
  • 11 370 hectares dont 9 503 productifs (83,6%).
  • 19,2 % en conduite biologique (2 183 hectares).
  • Surface moyenne d’une exploitation prunicole = 12,5 hectares.
  • 24 ans, c’est l’âge moyen des vergers. Qui a dit que le pruneau était réservé aux seniors ?
  • Rendement moyen 2020 = 4960 kg / ha en conventionnel, 3255 en bio
  • Chiffre d’affaires agricole = 70 millions d’€ ; CA industriel = 140 millions d’€
  • Récolte 2020 = 37 765 tonnes (dont 4100 en bio). Récolte 2021 = 16 400 tonnes soit près de 70 % de pertes par rapport au potentiel de récolte en raison de l’épisode de gel.
  • La France est le 3ème producteur mondial derrière le Chili et les Etats-Unis.
  • Le top 3 concentre 90 % de la production mondiale de pruneaux !

Pour télécharger le rapport complet 2022, cliquez ici

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#French Agritech : la « Ferme Digitale »

Les grands enjeux agricoles et agroalimentaires de demain dans le rapport 2022

Toute la chaîne de la bioéconomie : l’agriculture, la sylviculture, l’halieutique, l’agroalimentaire, les produits biosourcés, la valorisation des déchets organiques, les bioénergies… vit une profonde transformation.

Le monde agricole va devoir inventer les solutions de demain pour produire en plus grande quantité, variété, qualité et disponibilité, dans un environnement naturel de plus en plus soumis au changement climatique.

Les agriculteurs vont aussi devoir apprendre à être producteurs de nouveaux services environnementaux dont les territoires et les acteurs économiques de l’alimentation ont besoin.

Pour lire l’intégralité du rapport

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Interbev : interprofession d’accompagnement et de sensibilisation

INTERBEV est une interprofession qui intervient comme un véritable porte-parole de la filière bétail et viande. INTERBEV dispose d’une représentativité large pour porter la voix de tous les professionnels bovins, veaux, ovins, équins et caprins dans de nombreuses instances, tant nationales qu’internationales.

INTERBEV se doit de définir des positions communes aux 20 organisations nationales qui la composent. Elle met en œuvre des outils réglementaires et des démarches Qualité (accords interprofessionnels, cahiers des charges, guides …)  accompagner les acteurs de la filière dans l’amélioration continue de leurs pratiques. Elle structure l’ensemble de ses engagements sociétaux sur l’environnement, la protection animale, la nutrition-santé, les avancées sociales et économiques dans une démarche de responsabilité sociétale collective.

INTERBEV déploie également des programmes de communication institutionnelle et grand public d’envergure, ayant trois objectifs :

  • valoriser la filière, ses métiers et ses Hommes ;
  • valoriser les viandes de bœuf, de veau, d’agneau, de chevreau et chevaline ;
  • rétablir ses vérités là où se forme l’opinion et où se noue le débat.

Ces programmes de communication ont été conçus et mis en place afin d’établir que la filière de l’élevage et des viandes rassemble des professionnels passionnés et forts de leur savoir-faire, qui élaborent des produits de qualité indispensables à la vitalité de nos campagnes et à l’équilibre alimentaire des consommateurs.

Effectivement, les français cherchent de plus en plus à consommer et à manger « mieux ». Pour les viandes, cela passe par une consommation raisonnable, dans le cadre d’une alimentation équilibrée riche en végétaux mais aussi par la recherche de viandes d’une qualité gustative supérieure dont le mode de production répond à leurs attentes : respect des animaux et des hommes, préservation de l’environnement, maintien de la sécurité sanitaire tout au long de la chaîne, proximité, traçabilité…

INTERBEV s’attache à favoriser la mise en œuvre de ce « mieux », avec des études, sur les aspects nutritionnels, sanitaires et organoleptiques notamment, avec la mise à disposition d’informations précises et techniques sur ces sujets et avec la diffusion d’outils à destination des professionnels de la filière et des consommateurs pour les informer sur ces sujets.

  • Favoriser une consommation équilibrée et raisonnable de viande
  • Préserver la sécurité sanitaire des produits :
  • Mieux comprendre les relations entre la consommation de viande, les apports nutritionnels et la santé 

Cliquez ici pour consulter l’infographie sur le site internet d’INTERBEV. 

 

Pour plus d’information : 

Rendez-vous sur les sites internet d’INTERBEV et du CREDOC.

 

Contact :

Marie Guilbert, directrice

INTERBEV NOUVELLE-AQUITAINE

05 57 85 99 78

m.guilbert@interbev-nouvelleaquitaine.fr

©INTERBEV

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Vendre du vin et des produits alimentaires au Japon

Les produits d’épicerie fine et les vins français sont toujours très demandés par le consommateur japonais. Le marché a évidemment été impacté par la crise sanitaire et est actuellement « figé » par les Jeux Olympiques. On peut compter sur un essor des exportations françaises à très court terme. La tendance est plus que jamais au BIO.

Vendez vos produits BIO aux importateurs japonais via le projet européen : « EUfood2japan » : vos produits sont promus gratuitement via une plate-forme web (catalogue en ligne) en japonais et par un agent commercial après des professionnels japonais.

Découvrez ici les produits recherchés.

 

Pour plus d’informations : 

Rendez-vous sur le site internet de EUfood2japan

 

Contact :

Valérie MANDON –  Conseillère d’entreprise

Chambre de commerce et d’industrie  (CCI) – Limoges

06 43 69 55 77

valerie.mandon@limoges.cci.fr

©EUfood2japan

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Chiffres clés : forte progression de l’agriculture bio en Nouvelle-Aquitaine

La Région Nouvelle-Aquitaine se positionne comme la deuxième région bio de France.

Comptant 8013 producteurs engagés en bio, la Région Nouvelle-Aquitaine est la deuxième région bio de France par son nombre de fermes et d’exploitations en agriculture biologique. Communiqués par l’Agence Bio et par Interbio Nouvelle-Aquitaine, les chiffres de l’année 2020 confirment la progression constante de la filière bio dans la Région, avec des augmentations supérieures à la moyenne nationale.

Au total, en 2020, 12,2 % des exploitations en Nouvelle-Aquitaine sont des fermes ou exploitations bio. Et les surfaces agricoles bio représentent 8,4 % de la superficie agricole utilisée (SAU) de Nouvelle-Aquitaine.

Il en est de même à l’échelle national où l’agriculture bio a pris un poids considérable. En 2020, la consommation de produits bio a fait un bond. Dans un contexte de crise sanitaire, les enjeux de santé sont au premier plan des attentes alimentaires : consommer sain et durablelocal et de saison n’est plus une tendance passagère, selon l’Agence Bio. En effet, pour la première fois en 2020, la France compte plus de 50 000 exploitants agricoles bio et il est important de mettre en avant que le marché bio a franchi le cap des 13 millards, un chiffre à prendre en considération, car en 5 ans, il a pratiquement doublé.

Pour plus d’informations : 

Consultez l’intégralité de l’article sur le site de la Région Nouvelle-Aquitaine : Agriculture bio : la forte progression en Nouvelle-Aquitaine

Rendez-vous sur le site internet de l’Agence Bio.

©NAQ

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Réglementation concernant la commercialisation du melon

Interfel, (Interprofession des fruits et légumes frais) organisme qui rassemble l’ensemble des métiers de la filière fruits et légumes frais a publié un document les dispositions concernant la réglementation melon. Cette note fait le point sur la réglementation concernant la commercialisation du melon et donne les éléments d’application de l’accord interprofessionnel qualité portant sur le calibrage de ce produit estival.

Télécharger le document concernant la réglementation du Melon

 

Pour plus d’informations : 

Rendez-vous sur le site internet d’Interfel et sur leur plateforme numérique.

Pour en savoir plus sur la filière des fruits et légumes à l’échelle internationale, rendez-vous sur le site internet de l’Agence pour la Recherche et l’Information en Fruits et Légumes (Aprifel).

 

Contact : 

Céline Genty, Déléguée Régionale Nouvelle-Aquitaine 

Interfel

06 08 10 68 44

c.genty@interfel.com

©Interfel

 

 

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Synthèse de l’étude sur la filière Ovine

Menée par la Chambre d’Agriculture de la Gironde

Les objectifs spécifiques de l’étude s’organisent autour de :

  • La détermination de la plus-value des signes de qualité,
  • L’évaluation de la durabilité des exploitations agricoles engagées dans la démarche qualité.

C’est la méthode IDEA qui a été utilisée car ce travail a été réalisé à l’échelle d’une exploitation.

La méthode Indicateurs de Durabilité des Exploitations Agricoles (IDEA), est une méthode de diagnostic pour rendre de compte de la durabilité des exploitations agricoles. Elle évalue la performance globale d’une exploitation agricole (c’est-à-dire son niveau de durabilité) selon deux approches complémentaires : les trois dimensions de la durabilité et les cinq propriétés d’une agriculture durable.

Accéder à l’étude dans son intégralité

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Flash actu

L'AANA vous donne RDV pour 6 dates en région avec Les Matinales de l'Export !

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