Le Lab Alimentation Nouvelle-Aquitaine Menu Fermer Fermer

Inscrivez vos produits pour la prochaine dégustation à l’aveugle du Concours Saveurs Nouvelle-Aquitaine

Le 20 juin à Benon (Charente-Maritime), un jury de plus de 150 membres dégustera et jugera les produits de la région parmi les catégories suivantes :

→ Les Jus de fruits, confitures et crèmes de marron

→ Les Huiles de noix du Périgord AOP et huiles de noix de Nouvelle-Aquitaine

→ Les fromages de chèvre fermiers et viande de chèvre transformée

→ Les Vins Charentais IGP

→ Les Vins de Saumur AOC

→ Les Vins d’Anjou AOC

🥇Une médaille, c’est +10% des ventes au mimimum, un gage de reconnaissance du savoir-faire et du goût. Et aussi une belle façon de recueillir les avis de professionnels et de particuliers sur les produits !

Combien ça coûte ?

Vous pouvez inscrire autant de références que vous le souhaitez, les tarifs sont les suivants :

→ Produits alimentaires : 17€ HT par produit proposé

→ Vins : 25€ HT par produit proposé

Comment s’inscrire ?

En ligne sur notre site dédié au concours : https://www.saveurs-nouvelle-aquitaine.fr/page/25/candidats

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Gironde Alimen’terre, pour une alimentation locale et de qualité

Gironde Alimen’terre, programme transversal porté par le Département, vise à accompagner une meilleure alimentation des Girondines et Girondins, soit manger local et manger sain. Mais il s’agit aussi de permettre aux agriculteurs de mieux vivre de leur travail, dans le strict respect de l’environnement.

Le programme Gironde Alimen’terre porte sur toute la chaîne de valeurs, de la production à la consommation. Il est mis en œuvre via quatre axes stratégiques : 

  • Accompagner l’agriculture biologique et les démarches environnementales en agriculture,
  • Développer le foncier agricole responsable pour des projets respectueux de l’environnement et de la santé humaine,
  • Soutenir et valoriser les circuits courts afin de permettre à tous les Girondines et Girondins d’avoir accès à une alimentation locale et de qualité,
  • Déployer un approvisionnement de qualité au sein du département.
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Appel à projets Tourisme de savoir-faire

Publics concernés

Association , Entreprise

Domaines secondaires

Tourisme , Économie territoriale , Artisanat , Économies d’énergie , Filières , Transmission et mutation d’activité , Création d’entreprise , Reprise d’entreprise , Performance et compétitivité

Cette aide vise à accompagner la création de parcours de visite pour une ouverture au public d’une entreprise souhaitant faire découvrir son savoir-faire et le process de fabrication.

Objectifs

  • Accompagner l’ouverture au public de nouvelles entreprises
  • Développer l’offre régionale de tourisme de savoir-faire
  • Permettre au public de découvrir l’entreprise à travers son process de fabrication

Calendrier

Date limite de dépôt des dossiers : 31 décembre 2026

Bénéficiaires

  • Entreprises (hors SCI) inscrites au Régime du Commerce et des Sociétés (RCS)
  • Groupement d’entreprises ayant plus de 5 salariés (ETP)
  • Associations ayant plus de 5 salariés (ETP)

Les porteurs de projet pourront être issus des secteurs d’activités agricole, de l’artisanat ou de l’industrie proposant un accueil sur le site de production. Les exploitations agricoles et viticoles sont exclues.

Sont inéligibles les projets portés par des exploitations agricoles/viticoles (vérification par code NAF), grandes entreprises, collectivités, maisons de pays et magasins de producteurs.

Montant

Intervention :

  • Seuil minimum de dépenses à présenter : 20 000 € HT
  • Plafond des dépenses éligibles retenu : 200 000 € HT
  • Taux d’intervention : 50% maximum

Dépenses éligibles : 

  • Travaux concourant à l’accueil du public : second oeuvre, construction de bâtiment et/ou extension de bâtiments existants
  • Travaux d’équipements : aménagements ludiques et/ou pédagogiques favorisant l’accueil et la découverte, aménagements intérieurs, aménagements d’accessibilité
  • Supports de médiation : oreillettes, tablettes, etc.
  • Autres dépenses liées à l’accueil de public : aménagements extérieurs, salle de séminaire, boutique, étude, formation du personnel, etc.  

Ces dépenses doivent rester complémentaires au projet d’ouverture et ne peuvent pas faire l’objet unique de la demande.

Comment faire ma demande ?

Les porteurs de projet sont invités à prendre contact avec le Service Transition économique de la Direction du Tourisme avant le dépôt de leur dossier.

En cas de recevabilité de votre projet vous recevrez un dossier de demande d’aide à compléter.

Pour toute demande d’information complémentaire nous vous invitons à compléter le formulaire ci-dessous.

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Programme national pour l’alimentation : les 64 lauréats de l’appel à projets 2023-2024

Les lauréats de l’appel à projets 2023/24 du Programme national pour l’alimentation (PNA) ont été dévoilés le 29 février 2024 à l’occasion du Salon international de l’Agriculture par Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, en présence de Frédéric Valletoux, ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention, Sylvain Waserman président-directeur général de l’ADEME, et de représentants de la Direction générale de la cohésion sociale et de la Direction générale de la santé.

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[Rédaction du Lab] Panorama des condiments de Nouvelle-Aquitaine

Par la rédaction du Lab Alimentation

Du Pays-Basque à l’île de Ré, en passant par le Limousin et la Charente, la région Nouvelle-Aquitaine présente une réelle diversité dans la production de condiments. Piment et sel sous toutes ses formes, safran et même mayonnaise, voici un panorama des condiments de la région.

Le piment d’Espelette, la star du Pays Basque

Sous appellation d’origine protégée depuis 2002, le piment d’Espelette existe sous trois formes différentes : frais, en corde ou en poudre. Sa production s’étend sur 10 communes dans le département des Pyrénées-Atlantiques, dont le terroir est favorable à la production du piment grâce à l’association de températures douces en été et d’une pluviométrie généreuse. Emblème gastronomique du Pays-Basque, le piment d’Espelette est entré dans bon nombre de ménages français grâce à ses reconnaissances en AOC puis en AOP, et au dynamisme de sa filière qui compte aujourd’hui 207 producteurs, 15 reconditionneurs et 3 transformateurs. On produit chaque année 245 000 tonnes de poudre.

Une mayonnaise de Haute-Vienne obtient un Label Rouge

C’est une actualité toute fraîche : en novembre 2023, la Maison Delouis, entreprise installée dans les Monts de Châlus près de Limoges depuis 1885, a fait  certifier sa mayonnaise par un label rouge. Il n’y a que deux mayonnaises industrielles labellisées “label rouge” en France, et celle de Delouis est la seule au rayon épicerie (l’autre mayonnaise labellisée est au rayon frais et suit un cahier des charges différent). Selon Stéphanie Banicic, directrice commerciale de la Maison Delouis, l’entreprise “souhaite faire monter en gamme la mayonnaise industrielle. Le marché est plutôt tiré vers le bas par des produits avec beaucoup d’additifs. Nous voulions donc faire le contraire, et tirer vers le haut la mayonnaise en pot avec une belle qualité organoleptique. Notre mayonnaise est sans additifs, mise sous-vide dans un pot en verre, ce qui permet d’avoir une DLUO de neuf mois.” Si la mayonnaise labellisée n’a que trois mois d’existence, elle semble déjà avoir trouvé un public large parmi la clientèle de Delouis. La concurrence ne devrait pas tarder à imiter l’entreprise limousine dans les années qui viennent.

Le safran de l’Angoumois, un goût d’orient en Charente

Épice luxueuse évoquant l’orient, le safran est également produit en France, notamment dans l’Angoumois où il est cultivé depuis plusieurs siècles. Ils sont aujourd’hui plus d’une dizaine de safraniers à perpétuer un savoir-faire ancestral, un des éléments clefs du safran de l’angoumois selon Guillaume Bouyer, producteur de safran depuis sept ans : “Nous avons un climat doux dans la région qui permet la culture du safran, mais ce sont surtout nos méthodes de culture et de fabrication qui font la particularité de ce bassin.” Le bulbe est planté au plus tard le 15 août, qui germe au 15 septembre pour fleurir au 15 octobre, où le safranier n’a qu’une seule journée pour récolter les pistils de la fleur ; séchés, ces pistils deviennent du safran. Un travail d’orfèvre, long et minutieux, qui donne naissance à une épice rare : pour obtenir un kilogramme de safran, il faut compter 200 000 fleurs. La plupart des safraniers de la région se sont regroupés autour d’une association, « Safran de I’ Angoumois – Champniers Safran » afin de faire rayonner leur produit et de constituer une charte collective en vue d’obtenir potentiellement un signe officiel de qualité type IGP, afin de protéger le safran de l’Angoumois des nombreuses contrefaçons.

Les sels de la région, entre mer et terre

Le 24 novembre dernier, le sel et la fleur de sel de l’île de Ré obtenaient une IGP attendue depuis 2010.  Un signe de qualité dont vont profiter les 83 sauniers qui se sont réunis autour d’un collectif pour construire le cahier des charges retenu par l’Union Européenne. Il s’agit du second sel de Nouvelle-Aquitaine reconnu IGP, sept ans après celui de Salies-de-Béarn qui n’est pas un sel marin. En effet, il est obtenu par une évaporation d’eaux souterraines salées selon la méthode ancestrale de la poêle à sel. Le sous-sol de cette région contenant en profondeur des eaux plus salées que l’eau de mer. L’utilisation de ce sel est préconisée dans le cadre de l’IGP Jambon de Bayonne.


En savoir plus…

Le Piment d’Espelette

https://www.pimentdespelette.com/

Un article de l’INAO sur la labellisation de la mayonnaise

https://www.inao.gouv.fr/Nos-actualites/mayonnaise-epicerie-lr

L’association Safran de l’Angoumois, Champniers safran

https://safran-angoumois.fr/


Un article de notre rédaction sur la labellisation du sel de l’Île de Ré

L’AFPS Producteurs de sel de l’Atlantique

Le Sel Salies-de-Béarn

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PCAE – Transformation et commercialisation de produits agricoles

Ce dispositif permet de soutenir les projets de transformation et/ou de commercialisation portés par les agriculteurs ou sociétés de transformation et de commercialisation ou leurs groupements (hors productions de la pêche, l’aquaculture et la filière vinicole). Il s’inscrit dans le Pacte Alimentaire pour une alimentation durable et locale en Nouvelle-Aquitaine.

Publics concernés

  • Agriculteur , Association , Entreprise

Domaines secondaires

  • Agroalimentaire , Agriculture , Bio , Environnement
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Flash actu

L'info à ne pas rater : rencontres d'acheteurs internationaux à Bordeaux #GBM2025

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