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Ouverture des appels à projets FEADER

Vous pouvez déposer dès à présent sur le site « Mes Démarches en Nouvelle-Aquitaine »  vos demandes d’aide pour les 3 dispositifs mobilisant du FEADER.

« 77.03.01 Coopération pour encourager le développement des systèmes de qualité »

Les bénéficiaire sont les ODG, Interprofessions, Groupements AB.

Thématique : Agriculture/Agroalimentaire/Forêt Appel à projets

Date limite de dépôt des dossiers sous MDNA : vendredi 8 mars 2024.

https://www.europe-en-nouvelle-aquitaine.eu/fr/appels-%C3%A0-projets/appel-projets-feader-cooperation-pour-le-developpement-des-systemes-de-qualite


« 77.01.01 Partenariat Européen d’Innovation »

Les bénéficiaires sont les Personnes physiques ou morales (dont entreprises), collectivités, EPCI, syndicats mixtes, organismes de recherche ou de diffusion de connaissances, établissement public d’enseignement et de recherche, associations, etc.

Date limite de dépôt des dossiers sous MDNA : 1er mars 2024.

https://www.europe-en-nouvelle-aquitaine.eu/fr/appels-%C3%A0-projets/appel-projets-partenariat-europeen-pour-linnovation-pour-la-productivite-et-le


« 78.01.01 Actions de diffusion, d’échanges de connaissances et d’informations, et de démonstration au service de la transition agroécologique »

Les bénéficiaires sont les Structures publiques ou privées intervenant dans les domaines de la diffusion de connaissances et d’informations dans le secteur agricole.

Thématique : Agriculture/Agroalimentaire/Forêt Appel à projets

Date de fin de l’appel à projets : Vendredi 1 mars 2024

https://www.europe-en-nouvelle-aquitaine.eu/fr/appels-%C3%A0-projets/appel-projets-feader-soutien-laccompagnement-de-la-transition-agricole-en-nouvelle

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Appel à projet : solidarité, agriculture, bio, artisanat, ESS, tourisme durable…

Appel à projet solidarité internationale

Vous êtes un acteur néo-aquitain et souhaitez monter un projet de développement solidaire dans les territoires de pays en développement ou émergents ?
Déposez votre dossier avant le 4 mars 2024

Thématiques éligibles : solidarité, santé, égalité, agriculture, bio, artisanat, développement international, ESS, formation professionnelle, tourisme durable, apprentissage, sanitaire et social, enseignement supérieur, citoyenneté, environnement, climat, biodiversité.

Objectifs

  • Contribuer, à l’échelle régionale, à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD), adoptés par l’ONU en septembre 2015 pour lutter contre la pauvreté, les inégalités et l’injustice et faire face au changement climatique, d’ici à 2030, en cohérence avec le Consensus européen pour le développement adopté le 7 juin 2017 par l’Union Européenne et les Etats membres.
     
  • Contribuer à l’atteinte des objectifs de la feuille de route régionale dédiée à la transition énergétique et écologique « Néo Terra », adoptée en  juillet 2019 par les élus de Nouvelle-Aquitaine réunis en séance plénière. Cette feuille de route se fixe 11 ambitions, accompagnées d’engagements chiffrés et d’actions concrètes afin d’accompagner l’effort de transition en termes énergétique, écologique et agricole à l’horizon 2030 (https://www.nouvelle-aquitaine.fr/grands-projets/neo-terra-la-feuille-de-route-de-la-transition-environnementale-et-climatique)
     
  • Soutenir le dynamisme de la société civile régionale en matière de solidarité internationale et participer à la valorisation des savoir-faire régionaux à l’étranger ;
     
  • Accompagner les acteurs associatifs, économiques et institutionnels implantés sur le territoire de la Nouvelle-Aquitainedans la mise en œuvre de projets structurants et durables dans les territoires de pays en développement ou émergents (hors Europe et pays OCDE) dans un esprit de coopération et de solidarité internationale.

Pour en savoir plus : https://les-aides.nouvelle-aquitaine.fr/amenagement-du-territoire/developpement-solidaire

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[Rédaction du Lab] Le sel et la fleur de sel de l’île de Ré reconnus IGP

Le 24 novembre dernier, l’Union Européenne a accordé au sel et à la fleur de sel de l’île de Ré une Indication Géographie Protégée. Il s’agit du troisième condiment sous signe d’identification de la qualité et de l’origine en Nouvelle Aquitaine, après le piment d’Espelette et le sel de Salies-de-Béarn.

Plus de dix ans de travail et d’attente récompensés

Ils attendaient cette décision depuis 2010, année où plusieurs sauniers de l’île de Ré se regroupèrent pour former un collectif en vue d’obtenir une IGP pour leurs produits. Leur première mission fut de définir qui ils étaient, quelles étaient les particularités de leurs produits et la tradition pour les faire. Ce processus engendra un premier cahier des charges. Une soixantaine de versions plus tard, le collectif de saunier tenait enfin leur cahier des charges final et envoyait une candidature au ministère. Ils obtinrent une publication au journal officiel français et une transmission de leur dossier à la commission européenne le 14 juin 2021 ; et le 24 novembre dernier, ce fut la publication au journal officiel de l’Union Européenne qui leur donne le droit désormais d’apposer sur leurs produits le logo de l’Indication Géographique Protégée.

Un sel de l’Atlantique aux caractéristiques propres

Ce sont ainsi 83 sauniers qui pourront afficher sur leurs produits le macaron IGP, sur une centaine de producteurs présents sur l’île de la Charente-Maritime. Il existe environ 600 sauniers sur la façade Atlantique, et un tronc commun de savoir-faire existe entre les producteurs de Ré, de Noirmoutier et de Guérande. La particularité de chaque bassin se situe notamment dans les particularités des marais salants selon Louis Merlin, saunier à Saint-Clément-des-Baleines et président de l’association des producteurs de sel de l’île de Ré: « Ils n’ont pas les mêmes formes de cristallisoirs, pas les mêmes circulations de l’eau, le principe même de fabrication est très différent. Il existe aussi une diversité de gestes de production et de récolte, nous n’avons pas les mêmes rythmes de travail, de récolte. Nous avons donc des spécificités locales, qui s’adaptent au terroir, au climat, qui donnent des sels légèrement différents. » Une autre caractéristique de cette nouvelle IGP, qu’elle partage avec Guérande et Noirmoutier, est la reconnaissance de sa fleur de sel. Le saunier rétais voit en l’IGP un accès à une notoriété qui servira de support au futur marketing du produit, et espère de nouveaux débouchés commerciaux pour un sel et une fleur de sel qui manque encore de visibilité.

 Troisième condiment de Nouvelle Aquitaine sous SIQO

Cette IGP arrive sept ans après la reconnaissance du sel de Salies-de-Béarn ; un sel obtenu par simple évaporation d’eaux souterraines salées, qui est préconisé dans le cadre de l’IGP Jambon de Bayonne. Elle rejoint également au rang des condiments de Nouvelle Aquitaine sous SIQO le célèbre piment d’Espelette, reconnue AOP depuis le 22 août 2008, en attendant peut-être le safran du Quercy, actuellement en démarche d’obtention de l’Indication Géographique Protégée.

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Un nouveau Pacte Bio pour l’agriculture biologique 2023-2027

La Région et l’Etat ont signé ensemble le Pacte d’ambition pour l’agriculture biologique 2023-2027, vendredi 15 décembre à Bordeaux. Avec ses partenaires de la filière, la Région s’engage ici sur de nouveaux objectifs communs et des actions régionales fortes pour le développement de l’agriculture biologique, autour de cinq axes stratégiques.

Eienne Guyot, préfet de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Pierre Raynaud, vice-président du Conseil régional en charge de l’Agriculture, ont signé le Pacte d’ambition pour l’agriculture biologique 2023-2027, ce vendredi 15 décembre à Bordeaux.
Ils étaient réunis dans les locaux du Syndicat d’Initiative à Vocation Unique de Bordeaux-Mérignac de restauration collective, un établissement exemplaire en termes de consommation locale et bio : 57 % de ses produits sont labellisés AB et 75 % sont…

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[Rédaction du Lab] NEO TERRA : La région Nouvelle Aquitaine présente l’Ambition 3

Par la rédaction du Lab Alimentation

En 2019, la région avait lancé une première feuille de route dédiée à la transition écologique nommée Néo-Terra. Une nouvelle version est sortie au mois de novembre dernier et présente tout un volet d’objectifs en matière d’agriculture et d’agro-alimentaire à destination des acteurs des filières.

Troisième volet de Néo-Terra, le chapitre dédié à l’agriculture et l’alimentation intitulé « Se nourrir : accélérer les transitions agroécologiques et alimentaires » pose la problématique de la résilience de l’agriculture régionale face au dérèglement climatique, et celle de sa pérennité quand on sait que 50% des agriculteurs partiront à la retraite dans moins de dix ans. Néo-Terra fixe ainsi trois objectifs à tous les acteurs des filières agricoles et agro-alimentaires de Nouvelle Aquitaine afin qu’ils réussissent leur indispensable transition écologique.

L’Agriculture

 Le premier objectif vise à étendre l’agroécologie à l’ensemble des exploitations agricoles tout en suscitant des vocations pour les métiers de l’agriculture. La région s’engage ainsi à sortir des pesticides de synthèse d’ici 2030 en s’appuyant sur plusieurs mesures destinées à former, accompagner et financer les agriculteurs vers des pratiques agroécologiques. Il s’agira également de proposer aux agriculteurs des pratiques et des moyens de lutter contre la sécheresse, et d’encourager à réduire les émissions de gaz à effet de serre en rémunérant ceux qui améliorent leur bilan carbone.

Concernant l’attractivité vers les métiers de l’agriculture, la région veut favoriser l’accès au foncier agricole grâce à un partenariat avec la SAFER (Société d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural) et faciliter la transmission des exploitations entre générations. Une attention est également portée à l’égalité homme-femme avec des résultats déjà obtenus depuis 2019, puisque 33% des exploitations d’agriculteurs concernaient des femmes en 2021.

La Transformation

Le second objectif concerne la transformation des produits agroalimentaires :

  • En soutenant les entreprises agroalimentaires dans des pratiques de transformations durables,
  • En encourageant la transformation de produits agricoles, de la pêche et de l’aquaculture directement par les agriculteurs, pêcheurs, aquaculteurs.

Depuis 2019, la région multiplie les aides dans ce secteur et y a obtenu des résultats concrets. Ainsi, 93 % des aides en faveur d’entreprises agroalimentaires portent des projets répondant aux ambitions de Néo Terra, et 62 % des aides à l’investissement productif des entreprises agroalimentaires font l’objet d’une éco-socio-conditionnalité. À côté, la région continue toujours à aider les agriculteurs à opter pour les circuits courts et les entreprises agroalimentaires qui fabriquent des produits en agriculture biologique.

La Commercialisation

Une volonté particulière est portée par la Région pour rendre accessible à toutes et tous les produits sains, locaux, et de qualité. Il s’agit bien sûr d’encourager le choix des circuits courts grâce à de multiples projets (70 montés depuis 2019) qui vont de la mise en place de plateformes logistiques au soutien à la vente directe ; mais également de pousser la restauration collective à s’approvisionner en bio et auprès des acteurs locaux, et à adopter une tarification solidaire. Enfin, la Région continuera à promouvoir et défendre au niveau européen les intérêts des producteurs et des consommateurs néo-aquitains engagés dans la valorisation des produits agroalimentaires de qualité.

Néo-Terra est donc un plan global, impliquant toutes les filières et les consommateurs, pour adapter notre agriculture aux défis qui se présentent à elle dès aujourd’hui.

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Ouverture de l’appel à projets 2024 « Promotion et développement des filières agricoles de qualité »

L’appel à projets se divise en 3 parties :

  1. Dispositif FEADER 77.03.01 : Coopération pour encourager le développement des systèmes de qualité (Promotion des SIQO),
  2. Dispositif Région : Actions de communication des filières agricoles,
  3. Dispositif Région : Actions d’élaboration de stratégie qualité des filières agricoles.

Pour le dispositif FEADER, les formulaires de demande d’aide sont disponibles sur le site Europe en Nouvelle-Aquitaine : Appel à projets FEADER – « Coopération pour le développement des systèmes de qualité » | Europe (europe-en-nouvelle-aquitaine.eu)

A noter que cette année, le dépôt de la demande d’aide se fera en ligne sur l’outil Mes Démarches en Nouvelle-Aquitaine (MDNA) à compter de février 2024.


Contacts

Etienne POURET : 05 55 45 18 58 | etienne.pouret@nouvelle-aquitaine.fr

Clémence GROLIERE : 05 55 45 17 65 | clemence.groliere@nouvelle-aquitaine.fr

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[Rédaction du Lab] Le « Caviar d’Aquitaine », en route vers l’IGP

Par la rédaction du Lab Alimentation

La dénomination « Caviar d’Aquitaine » vient d’obtenir une protection nationale transitoire octroyée par le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, une manière de protéger le Caviar d’Aquitaine sur le territoire européen, et une première étape vers l’obtention de l’IGP.

Un produit protégé au niveau national

Produit de fête et d’exception, le caviar fascine depuis des décennies les gastronomes du monde entier. La France, troisième producteur mondial derrière la Chine et l’Italie, élabore la majorité de sa production dans la région Nouvelle-Aquitaine. Sous l’égide de l’Association Caviar d’Aquitaine, fervente défenseure de la qualité et de l’authenticité du Caviar d’Aquitaine, et l’accompagnement de Anne Clermontelle du cabinet de conseil ACL Stratégies, le Caviar d’Aquitaine vient tout juste d’obtenir officiellement une protection nationale transitoire par le ministère de l’Agriculture. Une décision qui constitue une étape majeure vers l’obtention de l’IGP selon Sandrine Rambert, secrétaire générale de l’association :

« C’est une étape cruciale qui nous permet d’être protégé au niveau national. Dorénavant, seul le caviar répondant aux conditions fixées par le cahier des charges, et dont les producteurs sont membres de l’association, pourra bénéficier de la dénomination « Caviar d’Aquitaine”. Il nous reste une dernière étape, c’est celle de l’instruction européenne. Une fois validée par la commission d’enquête européenne, nous pourrons officiellement présenter nos produits IGP « Caviar d’Aquitaine » avec le précieux symbole jaune et bleu. ».

 Un cahier des charges exigeant, contraignant pour les professionnels mais nécessaire pour valoriser ce produit d’exception et se distinguer d’une concurrence féroce, dont la transparence sur les méthodes de production n’est pas toujours limpide. Il garantit notamment que tous les esturgeons sont nés et élevés en France, et plus précisément dans l’aire géographique délimitée par le cahier des charges.

Vers une protection européenne ?

Pour le moment, quatre producteurs sont membres de l’association : le groupe Kaviar, L’Esturgeonnière, Caviar de France et Prunier Manufacture. Leur production est essentiellement commercialisée en France (70 %) à travers trois principaux réseaux de distribution (GMS, hôtellerie-restauration, distribution spécialisée), mais s’exporte aussi vers plusieurs pays européens (Allemagne, Bénélux, Scandinavie, Royaume-Uni), le Japon, les États-Unis et le Mexique, entre autres. Que cela soit sur le marché intérieur et le marché extérieur, le Caviar d’Aquitaine subit de nombreuses concurrences : celle de la Chine, bien sûr, premier producteur de caviar dont certains atteignent des prix dérisoires, mais aussi de plusieurs pays européens (Italie, Espagne, Pologne). L’obtention d’une Indication Géographique Protégée qu’ambitionne l’Association Caviar d’Aquitaine permettrait au Caviar d’Aquitaine de se distinguer davantage de ses concurrents, grâce à ce signe officiel synonyme de qualité et de traçabilité, témoin d’un cahier des charges haut de gamme.

En attendant cette reconnaissance, l’association continue à s’engager activement dans la valorisation et la promotion du Caviar d’Aquitaine, mettant en avant le savoir-faire des producteurs qui possèdent une expérience de plus de 30 ans. Un nouveau site web doit en ce sens voir le jour au début de l’année 2024, il présentera en détail la filière et permettra ainsi aux amateurs et connaisseurs de découvrir toute la richesse et la singularité du Caviar d’Aquitaine.

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[Rédaction du Lab] Le sel et la fleur de sel de l’Île-de-Ré labellisés IGP

Par la rédaction du Lab Alimentation

Ce 24 novembre, les dénominations « Sel de l’île de Ré » & « Fleur de sel de l’île de Ré » ont été officiellement reconnus comme IGP par l’Union Européenne par publication du règlement d’exécution au Journal Officiel.

Les deux produits rétais, à savoir le sel et la fleur de sel de l’Île de Ré disposent désormais de leur propre Indication Géographique Protégée (IGP).

Cette reconnaissance valorise le travail des sauniers de la région, qui souhaitent préserver une tradition et un savoir-faire ancestral avec la récolte à la main du sel et de la fleur du sel, à l’ancienne.

Les marais salants sont indissociable de l’identité régionale et chaque année, 200 tonnes de fleur de sel et 2500 tonnes de sel de l’Île de Ré sont récoltés en Charente-Maritime.

Cette reconnaissance en IGP récompense la centaine de producteurs qui exerce sur 550 hectares de marais salants dans la région, dont 35% sont indépendants.

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